QUI SOMMES-NOUS?

Le vignoble
Nous sommes aux confins de la Bretagne et de la Vendée, à la "frontière" géographique et historique entre ces 2 régions.
Cette région, chargée d'histoire, a connu de nombreuses invasions, barbares, anglaises ou autres, qu'elles a toujours repoussées. Plus près de nous, elle a été le théâtre de ce que l'on a qualifié les guerres de Vendée, encore proches dans les mémoires.
En réalité, la frontière ne se situe pas sur la Loire, mais à quelques dizaines de kilomètres plus au sud de Nantes, sur la Sèvre Nantaise.
C'est là qu'Olivier de Clisson défendait la Bretagne, depuis son château fortifié, dont il subsiste de magnifiques ruines. Depuis, Valentin Lemot a totalement transformé le visage de Clisson et ses environs, pour en faire une ville de style italien.
Et c'est tout autour que se situe ce que l'on appelle le "vignoble", qui s'étend de Vertou à Clisson, puis de Vallet à Saint Lumine de Clisson, dans un paysage de bocages et de vallées, autour de la Sèvre Nantaise.
Le Puy du Fou, à quelques kilomètres de là, restitue admirablement l'histoire de cette région.

Le mouvement / sa naissance
Ce mouvement, qui se veut apolitique, en dehors de tout parti pris et de tout lobbying, est né de l'idée de quelques personnes du terroir, qui se sont dit :
-que nous tournions sans doute en rond depuis pas mal de temps,
-que mettre en opposition riches/pauvres et faire croire qu'il suffisait de retirer aux riches pour donner aux pauves rendra tout le monde heureux, avec toute la démogagie qui l'entoure, était simpliste et irresponsable,
-que le conservatisme et le corporatisme de certains conduisaient sans doute à une impasse,
-et qu'il y avait peut être place à des gens modérés, plein de bonne volonté, et peut-être fourmillant d'idées nouvelles,
-qu'il fallait fédérer toutes ces personnes, habituellement qualifiées de "masse silencieuse", et canaliser leur énergie,
-et créer un mouvement, une dynamique, capable de mettre sur pied des idées nouvelles et réalisables, même si elles sortaient totalement des sentiers battus.
C'est ainsi qu'est née l'idée, relayée par certains journaux locaux.
Et de là, de fil en aiguille, tous ceux qui se sont sentis concernés ou interpellés, ont rejoint et rejoignent ce mouvement.
Nous sommes avant tout un groupe de citoyens de la base, qui essaient de faire germer l'idée qu'il y a peut-être moyen de faire "autrement".

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